Scène 2 : Au sauna, je me montre ce
soir là plus entreprenante que d'habitude. Souvent, je laisse venir
les mâles à moi, et je sélectionne sur le plumage et le ramage,
mais je suis rarement offensive, reste de mes puissants complexes
quant à mon poids.
Ce soir là, je me sens extrêmement
bien, et je décide immédiatement de ne pas laisser passer le jeune
homme que je repère à mon arrivée dans le jacuzzi, assis à coté
de moi. Moins de 30 ans, une visage lisse et aux traits raffinés,
les cheveux un peu longs. Il me dévore des yeux, comme tous les
autres hommes présents alors dans le jacuzzi. Je lui souris, trop
timidement à mon goût. J'aimerais avoir plus de culot. Mais
qu'importe, les travaux d'approche sont lancés. Ne croyant pas trop
en l'aubaine, mon objectif me répond d'un pale sourire hésitant.
Je passe sur les échanges de sourires,
l'échappée vers les douches, le sauna où nous nous sommes entassés
avec les autres hommes qui nous avaient suivis à la trace, le verre
au bar où, enfin, mon objectif tente une approche physique, du bout
du pied sur le mien.
Nous nous isolons dans une cabine et ce
garçon va littéralement plonger sur moi et me manger l'entre-jambe
et l'entre-fesses, tout en grognant et couinant de plaisir.
D'ailleurs, il s'exprime beaucoup, accueillant toutes mes caresses
par des cris d'extase. Il donne l'impression de vivre un moment
d'exception. Il est empressé, trop même, et je dois à plusieurs
reprises lui demander de doser son ardeur : j'ai besoin de sentir les
choses se développer progressivement. Dans le même temps, la fougue
de ce garçon beau comme tout flatte mon égo. Il me murmure :
« désolé, vraiment désolé, mais ca fait si longtemps ! »
avant de replonger se tête entre mes cuisses. Lorsque, repus tous
les deux, nous échangeons quelques mots sur qui nous sommes je lui
demande : « et... Ca fait combien de temps alors ? » Il
bredouille vaguement quelques mots incompréhensibles, puis dit :
« non, mais c'est pas ca que j'ai voulu dire... Je sais plus ce
que j'ai voulu dire ».
Scène 3 : rendez-vous au sauna
parisien avec une petite bande de connaissances. Je retrouve A.,
croisé plusieurs mois auparavant dans un autre sauna. Je me
souvenait d'un rapport un peu brusque, durant lequel nous n'étions
pas très synchrone. Mais ce jour-là, tout se passe à merveille, et
nous nous câlinons durant de longues heures. Je ne me souvenais plus
que sa queue était si petite. Et lorsque je lui demande de mettre un
préservatif pour me sodomiser après un annulingus très excitant,
il me glisse à l'oreille : « non, c'est pas ce que je voulais
faire, tu n'es pas assez préparée ». Je ris et lui fais :
« tu crois ? » Il se trompait, et il s'en est rapidement
rendu compte.
Scène 4 : Un autre soir au sauna près
de chez moi. Un homme très méditerranéen, au nez busqué, à la
peau foncé et au yeux de braise veloutés de longs cils, m'aborde
dans les douches. C'est la première fois qu'il vient ici, les lieux
sont sympa, n'est-il pas ? Après une approche plus physique dans le
jacuzzi, nous tentons de trouver une cabine, mais l'heure est à
l'affluence, pas un coin de disponible. Alors je prends la main de
l'homme et je l'emmène dans le salon marocain, ouvert à tous les
regards. Ce qu'il veut avant tout, cet homme, c'est me lécher. Il
s'agenouille devant le canapé, à mes pieds. J'écarte largement les
jambes, un pied sur le canapé, l'autre sur la table basse et offre
ma chatte à sa langue gourmande.
Il y a beaucoup d'hommes seuls ce
soir-là au sauna et notre petite exhibition suscite des convoitises.
Je vais repousser plusieurs mains, plusieurs queues, jusqu'au moment
où j'ai envie de profiter de la bouche de l'homme. Alors je laisse
venir un tout jeune homme, déjà vu plusieurs fois au sauna, et qui
régulièrement me dévore des yeux, me suis dès qu'il peut en
tentant de me frôler. Il me caresse les seins, timidement au début,
puis plus franchement. Il m'embrasse et j'entends son souffle
précipité. D'autre hommes se pressent pour profiter du spectacle.
Le jeune garçon fait écran de son corps, s'arrange pour décourager
les plus téméraires d'un geste, ou d'un regard assassin. Mais au
bout de quelques minutes mon méditerranéen se lasse de tant de
regards, tant de mains et de sexes dressés, et il m'entraine vers
une cabine enfin disponible.
Scène 5, 6 et 7 : G. G. au sauna, G.
chez moi, G. au cinéma... Je vois beaucoup G. en ce moment. On a
même réussi à avoir notre première querelle de... heu... Notre
première différent quoi.
J'adore ce petit zapping !!
RépondreSupprimerRavie que cela vous plaise :)
Supprimerargh j'adore, ca donne des idées ce blog
RépondreSupprimerEt ca n'est pas fini ;)
Supprimer